L’AIDE AUX ORPHELINS

L’ADO se caractérise aujourd’hui par une action emblématique : l’aide aux orphelins.
– Soutien de 792 orphelins (2016)
– Soutien de 454 veuves (ou conjoints survivant)
– Ce qui représente 70 % de l’action de l’ADO
– Grâce à l’aide de 35 partenaires « orphelins » (entreprises et associations).
Quelle que soit la cause de la situation (décès en opération, en service ou hors service), les enfants survivants sont soutenus par l’ADO, jusqu’à la fin de leurs études. Parmi les orphelins soutenus, 19 % sont enfants d’un parent mort en opérations ou en service, 81 % sont enfants d’un parent mort hors service, de maladie ou accident.

Une montée en puissance confirmée.

Le soutien des orphelins est monté en puissance régulièrement depuis l’année 2008 :

 2008 : 116 orphelins
 2009 : 180
 2010 : 221
 2011 : 295
 2012 : 435
 2013 : 520
 2014 : 640
 2015 : 700
 2016 : 792

La montée en puissance devrait se poursuivre jusqu’en 2019 à hauteur d’environ 800 à 900 orphelins à soutenir. Ce nombre ne devrait guère varier ensuite.
Les besoins sont grands pour ces orphelins, car 45 % des familles endeuillées soutenues vivent sous le seuil de pauvreté.

C’est pourquoi L’ADO accentue également l’effort au profit des orphelins les plus défavorisés, en particulier en les accompagnant au cours de leur formation en vue d’un projet professionnel.

L’ADO a prévu les moyens de faire face à cette action d’entraide majeure. Elle développe pour cela de nouveaux partenariats avec des entreprises et associations.

Qui sont les orphelins soutenus par l’ADO ?

Quelques caractéristiques des 792 orphelins soutenus par l’ADO en 2016 :

– Origine professionnelle du parent disparu : 85 % armée de Terre, 7 % directions et services interarmées, 8 % personnel civil de la Défense.
– Catégorie du parent disparu : 15 % officiers, 55 % sous-officiers, 30 % militaires du rang.
– Ressources des familles endeuillées : 45 % vivent sous le seuil de pauvreté, dont 20 % sous le seuil de précarité. Au-delà, 18 % ont un niveau de ressources qui rend difficile l’intégration socio-culturelle.